Machins d’art

 RENCONTRE
autour de l’ouvrage édité pour les
40 ans du LaM
de Villeneuve d’Ascq
« Machins d’art. Une histoire croisée de l’art moderne, l’art contemporain et l’art brut »
 In Fine éditions, oct. 2023

Avec les auteurs :
Savine Faupin, Jeanne-Bathilde Lacourt
et Christophe Boulanger.

Samedi 2 décembre de 17h à 18h30 – entrée libre
Réservation indispensable : 01 42 58 72 89

Auteurs

Sous la direction de Jeanne-Bathilde Lacourt, conservatrice en charge de l’art moderne au LaM. Avec la collaboration de Stéphanie Verdavaine, Camille Veit, Savine Faupin, Joëlle Pijaudier-Cabot, Jeanne-Bathilde Lacourt, Annette Becker, Baptiste Brun, Laure Cheynel, Fabrice Flahutez, Christophe Boulanger, Roberta Trapani, Antoine Pickels, Benoit Villain, Cécile Cunin, Marie-Amélie Senot, Xavier Ballieu, François Piron et Grégoire Prangé.

 

machins d’art

une histoire croisée de l’art moderne, l’art contemporain et l’art brut

« C’est-à-dire qu’il y a de l’art partout. On pourrait même se demander si l’art c’est pas puissant. On peut penser à l’univers, ça peut bien être de l’art aussi. L’art de l’Univers. C’est le machin d’artiste de l’art qui a fait disparaître la misère. » André Robillard

Pour son quarantième anniversaire, le LaM propose une histoire croisée de l’art moderne, l’art contemporain et l’art brut à partir de sa collection. En incluant la création d’individus autodidactes, isolés ou internés dans un inventaire qui s’étend de 1869 à aujourd’hui, le musée porte un regard décloisonné, insolite et réjouissant sur plus d’un siècle et demi de création.

Le LaM est le premier musée de France à réunir dans sa collection des œuvres d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut. Né de la donation d’art moderne de Geneviève et Jean Masurel en 1979, il est pensé dès son inauguration en 1983 comme un lieu d’accueil pour la création contemporaine. L’association L’Aracine lui fait don, en 1999, de son importante collection d’art brut constituée dans le sillage de Jean Dubuffet. Depuis, par le biais des expositions temporaires, des accrochages et de la programmation culturelle, il s’attache à écrire une histoire de l’art et de la modernité qui prenne en compte l’émergence de pratiques marginales ou singulières de la seconde moitié du XIXe siècle jusqu’à nos jours.